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Bouquin à l'honneur

Bouquin à l'honneur
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Bouquin à l'honneur
26 octobre 2007

Le goût du vent

Le Goût du Vent, Yves Pinguilly

        goutduvent                Sous son aspect enfantin, et sa description « à partir de 11 ans », ce livre peut tout à fait repousser les lycéens à lire ces histoires ridicules.

Pourtant, si on franchit le barrage de cette idée, on découvre un livre transportant…

         J’ai eu vent de ce roman dans un petit livre d’exposition du CDI dans lequel quelques extraits de différents romans se logeaient, et les références de ce livre se sont trouvées parmi ma sélection…

         J’ai en fait pris beaucoup de plaisir à la lecture de cet ouvrage et appris beaucoup de vocabulaire de la marine. Ce roman sent la mer, l’embarcation et l’aventure. L’écriture nous plonge à la perfection dans le monde voulu par l’auteur et c’est formidablement agréable de se trouver dans un milieu dans lequel on ne va pas tous les jours…

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26 octobre 2007

Le Passeur de L.Lowry

Cf au résumé du livre sur cette page :passeur
http://www.chez-dilvich.com/notices/passeur.php

Un récit fantastique qui commence de façon plutôt mystérieuse.

Son écriture, jolie et simple, rend la lecture du roman très agréable. L’histoire reste longtemps secrète non seulement au fil de la lecture mais aussi après le point noir qui marque la dernière phrase du livre. Par exemple, le sens de l’expression "se faire élargir" n’est explicite qu’en fin de livre.
On a envie de relire plusieurs fois les dernières lignes pour garder encore et encore le goût enchanteur du roman...

26 octobre 2007

L'homme à l'envers

Fred Vargas, grande romancière de polar.
Ce livre-ci ne peut que nous confirmer ce dire...

Cf au résumé à cette page : http://perso.orange.fr/calounet/resumes_livres/vargas_resume/vargas_lhommealenvers.htm

varg

L'atmosphère de ce livre est prenante, la part de mystère nous attire en tant que lecteur curieux à poursuivre la lecture malgré l'assurance des faits. En effet, pendant une bonne partie du livre, les faits ne sont pas des preuves clairs et précises qui confirment la démarche des personnages. Le commissaire Adamsberg n'apparaît que vers la fin où l'enquête s'affirme. Cependant, le lecteur reste en haleine jusqu'au bout. Le coupable est quelqu'un à qui on songe sans y croire et pourtant, cela paraissait comme d'habitude, être une évidence...

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